Trop occupée a m’occuper des autres… des autres affaires, je me suis un peu négligée dans les dernières années.

Je n’ai cependant pas lâché les pinceaux et les plumes. Maintenant transplantée en Charlevoix, je me suis créé un petit espace inspirant, tout comme l’endroit!  Aussi, le site est plus facile à modifier sans m’installer à l’ordinateur des heures! Oui, vous pouvez parfois me voir m’exprimer positivement sur la technologie! J’aime ça. J’ai juste une affection pour les vieux machins. L’un n’empêche pas l’autre!

Alors, en espérant pouvoir être plus active ici. Ce qui m’éloignera peut-être un peu des réseaux sociaux.

J’essaie aussi de regrouper les œuvres selon un certain sens… (Oui! de l’ordre.) Je ferai de l’élagage aussi.  Peut-être réussirai-je  à continuer certains projets et thèmes commencés et laissés en plan!

Les suggestions sont bienvenues. Tant que ça ne nécessite pas que je devienne programmeur web. J’ai assez de chapeaux!

Babaye!

Marianne

 

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Marianne Fourcaudot

Née à Québec, il y a plusieurs décennies, Marianne Fourcaudot a étudié en arts, lettres et cinéma. Si vous lui demandez pourquoi, elle vous dira très sérieusement que c’est le seul domaine qui pouvait lui permettre d’être tout à la fois : cowboy, pianiste de concert, tueur en série, criminologue, camionneuse ou ornithorynque… En 1999, elle est membre du Jury Émile-Cantillon au Festival du film francophone de Namur, en Belgique. En 2000, Marianne participe à un projet d’art éphémère à Mios, en France. Elle réalise trois courts métrages d’animation et s’implique dans plusieurs festivals à Québec où elle y est à la fois chauffeur et photographe. Elle s’installe à Milwaukee, au Wisconsin, pendant plusieurs années elle y expose et vend ses toiles qui tombent dans l’œil de la directrice artistique du ballet de Milwaukee. Elle initie, avec l’aide de son partenaire de l’époque, plusieurs jeunes et moins jeunes à la photo argentique. Artiste indisciplinée, comme elle aime bien le dire, passionnée d’encre et de plumes, les médiums et moyens d’expressions vont au gré des fantaisies du moment. Toujours avec poésie et surréalisme, elle crée par besoin et quand ça lui tente. Le reste du temps, elle essaie d’avoir une vie normale, mais, cette partie mériterait un autre chapitre. Elle nomme les libellules par leur nom latin, discute avec les animaux qu’elle rencontre. Elle est maintenant installée dans la belle et inspirante région de Charlevoix. Les animaux, la nature, les saisons, la condition humaine sont parmi ses inspirations majeures.